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[07/12/2013] LE GRAND MECHANT BEAT #10 au CABARET
- JanineVodka
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il y a 11 ans 5 jours - il y a 10 ans 11 mois #44350
par JanineVodka
[07/12/2013] LE GRAND MECHANT BEAT #10 au CABARET a été créé par JanineVodka
Qui a peur du Grand Méchant Beat c’est p’têt vous, c’est pas nous…
Le Grand Méchant Beat, celui qui te souffle l’estomac avec ses infra basses, qui te tord le cerveau avec ses basses lourdes et distordues, qui te démonte les neurones avec ses mélodies vicieuses et bien placées…
C’était il y a 2 ans et 9 éditions…
Deux ans déjà que Le Grand Méchant Beat a jeté ses griffes sur les dancefloors de la capitale, semant la panique auprès des gentils petits beats avec sa vibe infernale!
Quel cirque allait-il donc imaginer pour pouvoir dignement fêter ces deux années de musique et de beats endiablés ?
Jamais à court d’idée et toujours prêt à manigancer des traquenards à neurones, Le Grand Méchant Beat veut une nuit bestiale et sauvage digne de ses deux années de subversion festive.
FLYER BY DONANUBIS
Pour son anniversaire, il demande du renfort : il lui faut des alliés prêts à renverser les codes de la nuit parisienne et à piétiner les règles de la bienséance musicale !
Et pour cette édition spéciale, ils seront là !!
Ces créatures des nuits sans lune, Le Grand Méchant Beat est allé les traquer au fin fond des plus obscures contrées musicales.
Day-Mar , égérie de la musique hardcore sans concession, revient à Paris après une (trop longue) absence de 3 ans. Un album sorti cet été en poche, elle assénera une méchante leçon de « savoir-taper ».
À ses côtés, celui qui a inauguré les soirées Le Grand Méchant Beat, celui qui a donné le ton, l’un des godfathers de la musique industrielle et du UK hardcore : The Dj Producer , pour sa seule date à Paris cette année.
Le duo qui ne cesse d’étonner, les inventeurs géniaux du crossbreed, The Outside Agency , reconnus parmi les meilleurs artistes hard dans le monde, playlistés cet été par le grand Porter Robinson, feront claquer leurs snares tranchantes à nos oreilles masochistes.
Le duo Sud Africain, Counterstrike , référence mondiale de la hard drum and bass et pour la première fois en France, fera trembler le dancefloor du Cabaret Sauvage avec son live Audio/Vidéo, une expérience sensorielle unique.
Niveau Zero , l’artiste dubstep français conquérant des scènes internationales, livrera un live dur et puissant.
À leurs côtés, AK47 , mercenaire de la hard bass aux multiples facettes, résident du Grand Méchant Beat, enflammera encore le dancefloor de ses beats tonitruants.
Et puisque l’avenir de la nuit côté obscur c’est aussi les jeunes, la soirée sera ouverte par le gagnant du Grand Méchant Beat Mix Constest .
Le tout mis en décoration et en visuels par K-ROLL, décoratrice reconnue dans le milieu électronique underground et le cinéma et DVJ Niburu du crew Moskito Massala, créateurs d’ambiances visuelles fortes !
RDV donc pour un anniversaire qui s’annonce épique le Samedi 07 Décembre 2013 au Cabaret Sauvage !!
De 23h à 6h
@ Cabaret Sauvage
Parc de la Villette, 211 Avenue Jean Jaurès, 75019 Paris
Métro : Porte de la Villette (ligne 7) ou Porte de Pantin (ligne 5)
Tarifs: 20€ (hors frais de loc) en préventes sur DIGITICK & Réseau FNAC et 25€ sur place
Le Grand Méchant Beat, celui qui te souffle l’estomac avec ses infra basses, qui te tord le cerveau avec ses basses lourdes et distordues, qui te démonte les neurones avec ses mélodies vicieuses et bien placées…
C’était il y a 2 ans et 9 éditions…
Deux ans déjà que Le Grand Méchant Beat a jeté ses griffes sur les dancefloors de la capitale, semant la panique auprès des gentils petits beats avec sa vibe infernale!
Quel cirque allait-il donc imaginer pour pouvoir dignement fêter ces deux années de musique et de beats endiablés ?
Jamais à court d’idée et toujours prêt à manigancer des traquenards à neurones, Le Grand Méchant Beat veut une nuit bestiale et sauvage digne de ses deux années de subversion festive.
FLYER BY DONANUBIS
Pour son anniversaire, il demande du renfort : il lui faut des alliés prêts à renverser les codes de la nuit parisienne et à piétiner les règles de la bienséance musicale !
Et pour cette édition spéciale, ils seront là !!
Ces créatures des nuits sans lune, Le Grand Méchant Beat est allé les traquer au fin fond des plus obscures contrées musicales.
Day-Mar , égérie de la musique hardcore sans concession, revient à Paris après une (trop longue) absence de 3 ans. Un album sorti cet été en poche, elle assénera une méchante leçon de « savoir-taper ».
À ses côtés, celui qui a inauguré les soirées Le Grand Méchant Beat, celui qui a donné le ton, l’un des godfathers de la musique industrielle et du UK hardcore : The Dj Producer , pour sa seule date à Paris cette année.
Le duo qui ne cesse d’étonner, les inventeurs géniaux du crossbreed, The Outside Agency , reconnus parmi les meilleurs artistes hard dans le monde, playlistés cet été par le grand Porter Robinson, feront claquer leurs snares tranchantes à nos oreilles masochistes.
Le duo Sud Africain, Counterstrike , référence mondiale de la hard drum and bass et pour la première fois en France, fera trembler le dancefloor du Cabaret Sauvage avec son live Audio/Vidéo, une expérience sensorielle unique.
Niveau Zero , l’artiste dubstep français conquérant des scènes internationales, livrera un live dur et puissant.
À leurs côtés, AK47 , mercenaire de la hard bass aux multiples facettes, résident du Grand Méchant Beat, enflammera encore le dancefloor de ses beats tonitruants.
Et puisque l’avenir de la nuit côté obscur c’est aussi les jeunes, la soirée sera ouverte par le gagnant du Grand Méchant Beat Mix Constest .
Le tout mis en décoration et en visuels par K-ROLL, décoratrice reconnue dans le milieu électronique underground et le cinéma et DVJ Niburu du crew Moskito Massala, créateurs d’ambiances visuelles fortes !
RDV donc pour un anniversaire qui s’annonce épique le Samedi 07 Décembre 2013 au Cabaret Sauvage !!
De 23h à 6h
@ Cabaret Sauvage
Parc de la Villette, 211 Avenue Jean Jaurès, 75019 Paris
Métro : Porte de la Villette (ligne 7) ou Porte de Pantin (ligne 5)
Tarifs: 20€ (hors frais de loc) en préventes sur DIGITICK & Réseau FNAC et 25€ sur place
Dernière édition: il y a 10 ans 11 mois par JanineVodka.
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il y a 10 ans 11 mois #44380
par JanineVodka
Réponse de JanineVodka sur le sujet Re: [07/12/2013] LE GRAND MECHANT BEAT #10 au CABARET
Toute l'équipe de
Party Uniq
, impatiente d'envoyer du lourd le 7 Décembre 2013 au
Cabaret Sauvage
pour la 10e édition (et l'anniversaire des 2 ans) des soirées
Le Grand Méchant Beat
, vous invite à lire cette 1ere interview d'une Dj qui officie derrière les platines depuis plus de 10 ans au pays du Hardcore, la Hollande:
DaY-Mar
. Membre de l'élite du mainstream hollandais chez Master Of Hardcore, elle a su se démarquer par un son qui cherche toujours à se rapprocher de l'industrial, du dark, du dur. Nous sommes donc heureux de pouvoir lui poser quelques questions... Enjoy!
Paris est ravi de t’accueillir de nouveau! Est-ce que tu peux te présenter au public français qui ne te connaîtrait pas ? Comment toute cette histoire de hardcore a commencée ? Tes premières raves ?
Je suis tellement contente de revenir à Paris ! J’en peux plus d’attendre !
Je suis DaY-Mar (mon vrai nom est Dagmar Otto) et je joue du hardcore depuis presque 10 ans maintenant. J’ai commencé à jouer dans des petits clubs et après un moment j’ai signé chez Masters of Hardcore, la meilleure chose que je n’ai jamais faite ! J’allais dans les soirées à l’âge de 15 ans déjà … mon premier gros événement était la Love Parade à Berlin. Mais il n’y avait pas de hardcore. Quand j’ai été assez âgée pour entrer dans les soirées Qlubtempo en Hollande, je ne pouvais plus arrêter d’y aller ha ha ha. Cette musique s’appelait la Hard Dance mais j’ai toujours préféré les soirées Hardcore. Quand j’avais 19-20 ans j’ai commencé à jouer des vinyls Hardcore que les grands djs me donnaient.
On ne voit pas beaucoup de filles sur la scène mondiale Hardcore. Est-ce que ça a été plus difficile pour toi en tant que fille de réussir sur la scène Hardcore ?
Ha ha, on me pose toujours la même question, mais pour être honnête je ne pense pas que ça été plus difficile pour moi. J’ai toujours pensé : je suis bonne dans ce que je fais et je n’ai pas peur de la méchanceté des autres gens. Et ça a marché pour moi. Bien sûr c’est un peu différent ! Mais plus difficile ? Non, je pense juste que je m’amuse plus cheeky.
Tu joues sur les scenes «mainstage» et les scènes «industriels». Ta musique est un mélange de ces styles. Comment définies-tu ton style ? Quelle est ta vision sur tous ces sous-genres de musique ? Est-ce qu’il n’est pas juste question de la fucking bass ?
Oui je joue les deux styles, le choix du style que je vais jouer le plus dépend juste de ma journée. Certains le décrivent comme industriel, d’autres comme du hardcore agressif. C’est en effet un mélange des deux et je ne peux pas choisir. Mais globalement le son de ma musique est un peu plus dark et dur que le hardcore mainstream. Je n’aime pas mettre la musique dans toutes ces sous catégories. Cela freine la liberté créative quand tu mixes. Les kicks sont ce qu’il y a de plus important dans les tracks. Quelques fois je joue des morceaux sans samples ou paroles. Juste des kicks, j’adoooore hé hé hé.
Tu es une djette talentueuse et tu sais comment capter le public. Est-ce que tu penses que la transition du vynil vers le CD a rendu les choses plus faciles pour les DJs ? Comment as-tu vécu cette transition?
Des fois les vinyles me manquent. Ces superbes grosses choses noires me regardent encore tous les jours. Mais pour être honnête, mes sets sont plus variés et mixés plus rapidement ces derniers temps. Les cds sont un peu plus précis. Mais je dis toujours aux autres DJs : apprend d’abord à jouer sur vinyls. Si tu peux mixer du vinyl tu peux tout mixer.
Tu as sorti un album cet été avec de très belles collaborations. Combien de temps est-ce que ça t’a pris pour le finir ? Est-ce que tu cherches à exprimer la même chose quand tu mixes et quand tu crées de la musique ? Quel est ton processus de création ? Comment passes-tu d’une idée à un morceau fini ?
Mon album United States of DaY-mar a été un projet d’un an. Je l’ai commencé durant l’été 2012. J’ai fini deux morceaux et j’ai eu tellement d’autres idées que j’ai décidé de faire un album. J’ai demandé à des artistes de faire des remixs de mes plus vieux morceaux, je les ai choisi car je voulais entendre un style différent, j’étais curieuse de voir ce que ces morceaux allaient devenir avec leurs styles. Les collaborations ont été très amusantes à créer, car nous avions enfin l’occasion de mettre nos styles en commun.
La plupart du temps j’écoute de la vieille musique, de la musique différente et j’entends des voix que je veux utiliser ou des mélodies que je veux rendre plus dures et c’est comme cela que je commence. Après cela je fais pleeiinnns de kicks et je choisis les bons. Je collectionne les sons 24/7. C’est la chose la plus importante pour moi. Je crée le reste du morceau une fois que j’y ai intégré les kicks.
Je suis vraiment impatiente d’envoyer mes morceaux USOD (United states of Day-mar) à Paris !!! XOXO
Event FACEBOOK ICI
Paris est ravi de t’accueillir de nouveau! Est-ce que tu peux te présenter au public français qui ne te connaîtrait pas ? Comment toute cette histoire de hardcore a commencée ? Tes premières raves ?
Je suis tellement contente de revenir à Paris ! J’en peux plus d’attendre !
Je suis DaY-Mar (mon vrai nom est Dagmar Otto) et je joue du hardcore depuis presque 10 ans maintenant. J’ai commencé à jouer dans des petits clubs et après un moment j’ai signé chez Masters of Hardcore, la meilleure chose que je n’ai jamais faite ! J’allais dans les soirées à l’âge de 15 ans déjà … mon premier gros événement était la Love Parade à Berlin. Mais il n’y avait pas de hardcore. Quand j’ai été assez âgée pour entrer dans les soirées Qlubtempo en Hollande, je ne pouvais plus arrêter d’y aller ha ha ha. Cette musique s’appelait la Hard Dance mais j’ai toujours préféré les soirées Hardcore. Quand j’avais 19-20 ans j’ai commencé à jouer des vinyls Hardcore que les grands djs me donnaient.
On ne voit pas beaucoup de filles sur la scène mondiale Hardcore. Est-ce que ça a été plus difficile pour toi en tant que fille de réussir sur la scène Hardcore ?
Ha ha, on me pose toujours la même question, mais pour être honnête je ne pense pas que ça été plus difficile pour moi. J’ai toujours pensé : je suis bonne dans ce que je fais et je n’ai pas peur de la méchanceté des autres gens. Et ça a marché pour moi. Bien sûr c’est un peu différent ! Mais plus difficile ? Non, je pense juste que je m’amuse plus cheeky.
Tu joues sur les scenes «mainstage» et les scènes «industriels». Ta musique est un mélange de ces styles. Comment définies-tu ton style ? Quelle est ta vision sur tous ces sous-genres de musique ? Est-ce qu’il n’est pas juste question de la fucking bass ?
Oui je joue les deux styles, le choix du style que je vais jouer le plus dépend juste de ma journée. Certains le décrivent comme industriel, d’autres comme du hardcore agressif. C’est en effet un mélange des deux et je ne peux pas choisir. Mais globalement le son de ma musique est un peu plus dark et dur que le hardcore mainstream. Je n’aime pas mettre la musique dans toutes ces sous catégories. Cela freine la liberté créative quand tu mixes. Les kicks sont ce qu’il y a de plus important dans les tracks. Quelques fois je joue des morceaux sans samples ou paroles. Juste des kicks, j’adoooore hé hé hé.
Tu es une djette talentueuse et tu sais comment capter le public. Est-ce que tu penses que la transition du vynil vers le CD a rendu les choses plus faciles pour les DJs ? Comment as-tu vécu cette transition?
Des fois les vinyles me manquent. Ces superbes grosses choses noires me regardent encore tous les jours. Mais pour être honnête, mes sets sont plus variés et mixés plus rapidement ces derniers temps. Les cds sont un peu plus précis. Mais je dis toujours aux autres DJs : apprend d’abord à jouer sur vinyls. Si tu peux mixer du vinyl tu peux tout mixer.
Tu as sorti un album cet été avec de très belles collaborations. Combien de temps est-ce que ça t’a pris pour le finir ? Est-ce que tu cherches à exprimer la même chose quand tu mixes et quand tu crées de la musique ? Quel est ton processus de création ? Comment passes-tu d’une idée à un morceau fini ?
Mon album United States of DaY-mar a été un projet d’un an. Je l’ai commencé durant l’été 2012. J’ai fini deux morceaux et j’ai eu tellement d’autres idées que j’ai décidé de faire un album. J’ai demandé à des artistes de faire des remixs de mes plus vieux morceaux, je les ai choisi car je voulais entendre un style différent, j’étais curieuse de voir ce que ces morceaux allaient devenir avec leurs styles. Les collaborations ont été très amusantes à créer, car nous avions enfin l’occasion de mettre nos styles en commun.
La plupart du temps j’écoute de la vieille musique, de la musique différente et j’entends des voix que je veux utiliser ou des mélodies que je veux rendre plus dures et c’est comme cela que je commence. Après cela je fais pleeiinnns de kicks et je choisis les bons. Je collectionne les sons 24/7. C’est la chose la plus importante pour moi. Je crée le reste du morceau une fois que j’y ai intégré les kicks.
Je suis vraiment impatiente d’envoyer mes morceaux USOD (United states of Day-mar) à Paris !!! XOXO
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il y a 10 ans 11 mois #44386
par JanineVodka
Réponse de JanineVodka sur le sujet Re: [07/12/2013] LE GRAND MECHANT BEAT #10 au CABARET
Pour ceux qui ne l'ont pas encore écouté, voici un mix exclusif de
Producer
qui est passé dans un 1er temps à l'emission
Le Grand Méchant Beat
sur la web radio
Underground FG
. Enjoy!
MIX A ECOUTER SUR SOUNDCLOUD ICI
"Podcast i did for the forthcoming 10th edition of Paris's premier Hardcore & hardcore drum & bass event, Le Grand Merchant beat, to be held in paris 07.12.13....This also being there 2 year anniversary......This mix was 1st transmitted on Frances Radio FG 07.11. 13 on the Le Grand Merchant Beat Underground FG show."
TRACKLIST FOR UNDERGROUND FG LGMB SHOW
1. AK INDUSTRY FEAT. BILLY S - MONSTER (OPHIDIAN RMX) - THE THIRD MOVEMENT
2. TRAFFIK - INCRIMINATING EVIDENCE (MATT GREENS THOSE WHO RULE REMIX) - NOISJ
3. FIEND - LUST - CHEEZE GRATERZ
4. DJ PROMO - LIFE ON THE OTHER SIDE (OPHIDIAN REMIX) - THE THIRD MOVEMENT
5. EMBRIONYC - THOUGHTS AGAINST THOUGHTS - DARK DESCENT
6. GANCHER & RUIN & CA2K - UNCRO - FUTURE SICKNESS
7. ANGEL - CAN YOU HEAR ME - INDUSTRIAL STRENGTH
8. RUDE AWAKENING - MALFUNCTION - THE THIRD MOVEMENT
9. MATT GREEN & FIEND - FOCUZ - MOTORMOUTH
10. ANGERFIST - STREETFIGHTER (BONG RA REMIX) - MASTERS OF HARDCORE
11. COUNTERSTRIKE & COOH - CROWD SURFER (THE OUTSIDE AGENCY REMIX)
12. I_GOR - L.I.O.N
13. MYSTIFICATION - FEEL THE CORE (HALLUCINATOR REMIX)
14. THE CLAMPS - THE UNDERGROUND - HERESY
15. C-NETIK & COOH - RETROFIT - PRSPCT RECORDINGS
16. DR. MATHLOVSKY - ROLLERCOASTER - NOISJ LTD
17. NUMEK - ORGANIK DUB - KILLING SHEEP
18. STORMTROOPER - MIMUNG - REBELSCUM
19. BAZOOKA VS EYE D & HIDDEN - VS THE DJ PRODUCER - DARKSIDE OF THE SHROOM 2009 KICKDRUM REFIX (DUB)
20. CURRENT VALUE & DONNY - THE NIGHTMARE MAN (KHAOZ ENGINE REMIX) (DUB)
21. AKIRA - CUSTOM GRIND - PRSPCT XTRM
22. DOLPHIN - ARMY OF ZOMBIES - KOM KOMS
23. STORMTROOPER - TODESVOGEL (CYCORE REMIX BY THE SPEEDFREAK) - INDUSTRIAL STRENGTH
24. AMBASSADOR 21 - FUCK ALL SYSTEMS (THE DJ PRODUCERS FUCK EVERYTHING REMIX)
25. DETEST - GET THE FUCK OUT!!
26. THE DJ PRODUCER - HELL-E-VATOR (PUNK FUNK SLAM DUNK VIP) - PRSPCT XTRM
27. DJ TSX - GET THE FUCK OUT OF MY MIND
28. DROKZ & TAFKAT - WANNA DIE?? - CORRUPT
EVENT FACEBOOK ICI
MIX A ECOUTER SUR SOUNDCLOUD ICI
"Podcast i did for the forthcoming 10th edition of Paris's premier Hardcore & hardcore drum & bass event, Le Grand Merchant beat, to be held in paris 07.12.13....This also being there 2 year anniversary......This mix was 1st transmitted on Frances Radio FG 07.11. 13 on the Le Grand Merchant Beat Underground FG show."
TRACKLIST FOR UNDERGROUND FG LGMB SHOW
1. AK INDUSTRY FEAT. BILLY S - MONSTER (OPHIDIAN RMX) - THE THIRD MOVEMENT
2. TRAFFIK - INCRIMINATING EVIDENCE (MATT GREENS THOSE WHO RULE REMIX) - NOISJ
3. FIEND - LUST - CHEEZE GRATERZ
4. DJ PROMO - LIFE ON THE OTHER SIDE (OPHIDIAN REMIX) - THE THIRD MOVEMENT
5. EMBRIONYC - THOUGHTS AGAINST THOUGHTS - DARK DESCENT
6. GANCHER & RUIN & CA2K - UNCRO - FUTURE SICKNESS
7. ANGEL - CAN YOU HEAR ME - INDUSTRIAL STRENGTH
8. RUDE AWAKENING - MALFUNCTION - THE THIRD MOVEMENT
9. MATT GREEN & FIEND - FOCUZ - MOTORMOUTH
10. ANGERFIST - STREETFIGHTER (BONG RA REMIX) - MASTERS OF HARDCORE
11. COUNTERSTRIKE & COOH - CROWD SURFER (THE OUTSIDE AGENCY REMIX)
12. I_GOR - L.I.O.N
13. MYSTIFICATION - FEEL THE CORE (HALLUCINATOR REMIX)
14. THE CLAMPS - THE UNDERGROUND - HERESY
15. C-NETIK & COOH - RETROFIT - PRSPCT RECORDINGS
16. DR. MATHLOVSKY - ROLLERCOASTER - NOISJ LTD
17. NUMEK - ORGANIK DUB - KILLING SHEEP
18. STORMTROOPER - MIMUNG - REBELSCUM
19. BAZOOKA VS EYE D & HIDDEN - VS THE DJ PRODUCER - DARKSIDE OF THE SHROOM 2009 KICKDRUM REFIX (DUB)
20. CURRENT VALUE & DONNY - THE NIGHTMARE MAN (KHAOZ ENGINE REMIX) (DUB)
21. AKIRA - CUSTOM GRIND - PRSPCT XTRM
22. DOLPHIN - ARMY OF ZOMBIES - KOM KOMS
23. STORMTROOPER - TODESVOGEL (CYCORE REMIX BY THE SPEEDFREAK) - INDUSTRIAL STRENGTH
24. AMBASSADOR 21 - FUCK ALL SYSTEMS (THE DJ PRODUCERS FUCK EVERYTHING REMIX)
25. DETEST - GET THE FUCK OUT!!
26. THE DJ PRODUCER - HELL-E-VATOR (PUNK FUNK SLAM DUNK VIP) - PRSPCT XTRM
27. DJ TSX - GET THE FUCK OUT OF MY MIND
28. DROKZ & TAFKAT - WANNA DIE?? - CORRUPT
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il y a 10 ans 11 mois #44388
par JanineVodka
Réponse de JanineVodka sur le sujet Re: [07/12/2013] LE GRAND MECHANT BEAT #10 au CABARET
Toute l'équipe de Party Uniq remercie les participants au Concours de Mix!
Le choix n'a pas toujours été facile mais voici venu le temps de voter pour les 5 finalistes en suivant le lien ICI
A vous de jouer pour sélectionner celui ou celle qui ouvrira le bal au Cabaret Sauvage!
EVENT FACEBOOK ICI
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il y a 10 ans 11 mois - il y a 10 ans 11 mois #44390
par JanineVodka
Réponse de JanineVodka sur le sujet Re: [07/12/2013] LE GRAND MECHANT BEAT #10 au CABARET
Voici pour vous une 2e interview avant LGMB 10 :
Counterstrike
, le duo sud africain réuni trop rarement sur les dancefloors parisiens arrive en force avec un live audio/video qui va, à coup sûr, retourner leCabaret Sauvage ainsi que tous vos sens... Enjoy !
Salut les gars. Supers contents de vous réunir tous les deux sur scène à Paris. Pouvez-vous nous parler un peu de vous ? Comment votre histoire a commencé en Afrique du Sud ? Qu’est-ce que vous faisiez avant la drum and bass ? Raves ? Breakbeat ?
Justin : J’ai commencé à faire de la musique en 1991 après avoir entendu Godflesh et Ministry pour la première fois. Jai acheté une guitare et une boîte à rythme et j’ai créé mon premier groupe Eraserhead avec un ami dans le même état d’esprit que moi. Nous avons joué dans des soirées de la scène métal/goth de Cape Town pour un moment. J’ai commencé à aller dans les raves de Cape Town autour de 1994 où j’ai découvert la drum and bass dans un club d’after appelé The Gel. À ce moment j’ai aussi rencontré Eaton via des amis communs. J’ai commencé à acheter des disques en 1994 et en 1995 j’ai décidé d’aller m’installer à Londres pour remonter à la source de la D&B. À mon retour en 1997, Eaton faisait déjà des soirées. J’ai joué dans quelques unes, nous sommes devenus plus proches et avons commencé à faire de la musique ensemble.
Eaton : Au milieu des années 90 j’écoutais beaucoup de métal. Je me suis acheté une guitare et une pédale Metal Zone. Des amis m’ont fait découvrir la musique électronique avec des artistes comme Aphex Twin, Nine Inch Nails, Authechre, Orbital etc… À peu près au même moment nous avons commencé un groupe de musique électronique live, notre son était une sorte de mélange entre la drum and bass et l’électronica. J’ai aussi commencé à aller dans les raves.
Justin était à Londres et nous envoyait les mixtapes des soirées Renegade Hardware, Grooverider, BBC Radio ainsi que ses propres mixs de drum and bass. J’aimais beaucoup les basses plus sombres et distordues et les évolutions rapides du son qui venait d’Angleterre. J’imagine que cela m’a suffisamment influencé pour que je ne produise plus que de la drum and bass depuis lors. On a commencé à faire des événements drum and bass pour promouvoir notre musique et d’autres producteurs.
Votre drum and bass est plus dure que la moyenne. Est-ce que c’était votre but au départ ? Quelle est votre vision de cette drum and bass plus dure et dark ? Certains l’appellent hardcore drum and bass, d’autres crossbreed. Et vous ?
Justin : C’est un peu venu comme ça je pense car nous aimons tous les deux la musique plus dure. Tout ce que nous voulions faire depuis le départ c’est écrire de la musique dure qui enflamme les dancefloors. Pour être honnête, je n’aime pas faire référence au crossbreed comme de la drum and bass, parce que ça n’en est pas. La drum and bass a des breakbeats et beaucoup de sub bass. Le crossbreed est principalement basé sur le kick 4/4 hardcore. Je dirai que le crossbreed a beaucoup plus en commun avec le hardcore qu’avec la drum and bass. Demandez à n’importe quel gros DJ drum and bass s’il jouerait du crossbreed et il vous répondrait certainement « non je n’aime pas le gabba ». Je n’ai personnellement rien contre le crossbreed, j’ai fait un tas de morceaux crossbreed. Je pense juste que la scène hard drum and bass est noyée par le crossbreed en ce moment. Beaucoup trop et d’une assez qualité assez pauvre surtout . J’aimerais voir le retour des breakbeats et du groove dans la hard drum and bass. Je ne suis pas venu à la dance music avec le hardcore mais j’y suis venu avec la drum and bass.
(c)Lightningcore/www.raverz.nl 2013 @ PRSPCT XL 17
Vous gérez aussi le label Algorythm avec d’excellentes EPs. Comment choisissez vous les artistes que vous allez sortir ? Qu’est-ce que cela implique d’essayer de maintenir un haut niveau de qualité ? Quels sont vos prochains projets ?
Justin : Merci, ravi que tu aimes les sorties. Le label c’est un peu comme une famille pour nous, alors c’est super important que l’on connaisse personnellement les artistes. C’est surtout des bons amis avec qui on passe du temps. De temps à autres nos amis nous envoient un bon morceau pas signé et en retour cela déclenche l’idée d’un EP. Il n’y a pas de pression sur nos labels, donc nous sentons l’envie de sortir un EP que lorsque nous recevons de bons morceaux. Actuellement nous travaillons sur quelque chose de spécial pour les fans de old school, From Beyond The Grave Part 2.
Vous allez présenter votre live act Audio/Vidéo. Pouvez-vous nous expliquer le concept ? Est-ce que c’est une évolution normale entre les technologies croisées (musique et vidéo) ? Est-ce que cela apporte quelque chose de plus excitant à la performance live ? À quoi doit s’attendre le public ?
Justin : D’aussi loin que je me souvienne, Eaton a toujours voulu apporter un aspect visuel à notre projet. Je ne voyais pas vraiment l’intérêt car la musique me suffit. C’est vraiment un sacré magicien visuel et quand il m’a montré ce qui était possible de faire j’ai été surpris et complètement converti à l’idée. Cela apporte clairement quelque chose de spécial à l’expérience Counterstrike. Nous sommes généralement limités par l’équipement vidéo qui nous est fourni, mais si nous avons du bon matériel, préparez vous à être soufflés.
Eaton : L’audio et la vidéo ont toujours été main dans la main pour moi. C’est une extension de la musique. J’aime jouer en tant que DJ et je n’ai jamais voulu faire que VJ alors le défi était de trouver une manière de jouer notre musique et que les visuels soient automatisés dessus et fassent leurs trucs. Il y a beaucoup de préparation pour la partie vidéo de notre show. Chaque morceau a sa propre vidéo réactive pré-rendue et liée à un track audio, alors quand nous mixons des morceaux, nous mixons les vidéos qui leurs ont été attribuées ce qui peut devenir assez amusant quand tu cut entre les morceaux, que tu rewind, etc...
Je voulais que les gens voient une connexion entre l’audio et la vidéo et j’étais particulièrement intéressé par l’interaction entre l’audio et la vidéo et comment les fréquences audio peuvent affecter et même créer les visuels que vous voyez. Nous avons utilisé de nombreuses techniques qui ont abouti à une variété de styles graphiques. Certains graphismes qui ont été créés par Joelle Snaith sont basés sur du code et sont créés en utilisant un traitement pendant que d’autres visuels que j’ai créé, utilisent les fonctions de réactivité audio de certains plugins comme Trapcode Sound Keys & Trapcode Form, comnbiné avec 3DS Max. C’est vraiment notre interprétation de la musique avec des fois, des résultats inattendus où chaque frame est unique et rien ne tourne jamais en boucle.
Quels sont les prochains projets de Counterstrike ? Prochaines sorties ? Collaborations ?
Justin : Nous venons juste de sortir notre Devil Fish EP 2 il y a quelques semaines. Notre remix Gunseller pour BSE vient juste de sortir. Il y a un remix et une collaboration à venir très bientôt sur Position Chrome le label de The Panacea. Un nouveau single est en cours pour PRSPCT avec une touche plus crossbreed. À part cela l’EP From Beyond The Grave Part 2 sur Algorythm et nous travaillons sur deux trois trucs pour une nouvelle collaboration sur Counterstrike Recordings.
Original english version HERE
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Salut les gars. Supers contents de vous réunir tous les deux sur scène à Paris. Pouvez-vous nous parler un peu de vous ? Comment votre histoire a commencé en Afrique du Sud ? Qu’est-ce que vous faisiez avant la drum and bass ? Raves ? Breakbeat ?
Justin : J’ai commencé à faire de la musique en 1991 après avoir entendu Godflesh et Ministry pour la première fois. Jai acheté une guitare et une boîte à rythme et j’ai créé mon premier groupe Eraserhead avec un ami dans le même état d’esprit que moi. Nous avons joué dans des soirées de la scène métal/goth de Cape Town pour un moment. J’ai commencé à aller dans les raves de Cape Town autour de 1994 où j’ai découvert la drum and bass dans un club d’after appelé The Gel. À ce moment j’ai aussi rencontré Eaton via des amis communs. J’ai commencé à acheter des disques en 1994 et en 1995 j’ai décidé d’aller m’installer à Londres pour remonter à la source de la D&B. À mon retour en 1997, Eaton faisait déjà des soirées. J’ai joué dans quelques unes, nous sommes devenus plus proches et avons commencé à faire de la musique ensemble.
Eaton : Au milieu des années 90 j’écoutais beaucoup de métal. Je me suis acheté une guitare et une pédale Metal Zone. Des amis m’ont fait découvrir la musique électronique avec des artistes comme Aphex Twin, Nine Inch Nails, Authechre, Orbital etc… À peu près au même moment nous avons commencé un groupe de musique électronique live, notre son était une sorte de mélange entre la drum and bass et l’électronica. J’ai aussi commencé à aller dans les raves.
Justin était à Londres et nous envoyait les mixtapes des soirées Renegade Hardware, Grooverider, BBC Radio ainsi que ses propres mixs de drum and bass. J’aimais beaucoup les basses plus sombres et distordues et les évolutions rapides du son qui venait d’Angleterre. J’imagine que cela m’a suffisamment influencé pour que je ne produise plus que de la drum and bass depuis lors. On a commencé à faire des événements drum and bass pour promouvoir notre musique et d’autres producteurs.
Votre drum and bass est plus dure que la moyenne. Est-ce que c’était votre but au départ ? Quelle est votre vision de cette drum and bass plus dure et dark ? Certains l’appellent hardcore drum and bass, d’autres crossbreed. Et vous ?
Justin : C’est un peu venu comme ça je pense car nous aimons tous les deux la musique plus dure. Tout ce que nous voulions faire depuis le départ c’est écrire de la musique dure qui enflamme les dancefloors. Pour être honnête, je n’aime pas faire référence au crossbreed comme de la drum and bass, parce que ça n’en est pas. La drum and bass a des breakbeats et beaucoup de sub bass. Le crossbreed est principalement basé sur le kick 4/4 hardcore. Je dirai que le crossbreed a beaucoup plus en commun avec le hardcore qu’avec la drum and bass. Demandez à n’importe quel gros DJ drum and bass s’il jouerait du crossbreed et il vous répondrait certainement « non je n’aime pas le gabba ». Je n’ai personnellement rien contre le crossbreed, j’ai fait un tas de morceaux crossbreed. Je pense juste que la scène hard drum and bass est noyée par le crossbreed en ce moment. Beaucoup trop et d’une assez qualité assez pauvre surtout . J’aimerais voir le retour des breakbeats et du groove dans la hard drum and bass. Je ne suis pas venu à la dance music avec le hardcore mais j’y suis venu avec la drum and bass.
(c)Lightningcore/www.raverz.nl 2013 @ PRSPCT XL 17
Vous gérez aussi le label Algorythm avec d’excellentes EPs. Comment choisissez vous les artistes que vous allez sortir ? Qu’est-ce que cela implique d’essayer de maintenir un haut niveau de qualité ? Quels sont vos prochains projets ?
Justin : Merci, ravi que tu aimes les sorties. Le label c’est un peu comme une famille pour nous, alors c’est super important que l’on connaisse personnellement les artistes. C’est surtout des bons amis avec qui on passe du temps. De temps à autres nos amis nous envoient un bon morceau pas signé et en retour cela déclenche l’idée d’un EP. Il n’y a pas de pression sur nos labels, donc nous sentons l’envie de sortir un EP que lorsque nous recevons de bons morceaux. Actuellement nous travaillons sur quelque chose de spécial pour les fans de old school, From Beyond The Grave Part 2.
Vous allez présenter votre live act Audio/Vidéo. Pouvez-vous nous expliquer le concept ? Est-ce que c’est une évolution normale entre les technologies croisées (musique et vidéo) ? Est-ce que cela apporte quelque chose de plus excitant à la performance live ? À quoi doit s’attendre le public ?
Justin : D’aussi loin que je me souvienne, Eaton a toujours voulu apporter un aspect visuel à notre projet. Je ne voyais pas vraiment l’intérêt car la musique me suffit. C’est vraiment un sacré magicien visuel et quand il m’a montré ce qui était possible de faire j’ai été surpris et complètement converti à l’idée. Cela apporte clairement quelque chose de spécial à l’expérience Counterstrike. Nous sommes généralement limités par l’équipement vidéo qui nous est fourni, mais si nous avons du bon matériel, préparez vous à être soufflés.
Eaton : L’audio et la vidéo ont toujours été main dans la main pour moi. C’est une extension de la musique. J’aime jouer en tant que DJ et je n’ai jamais voulu faire que VJ alors le défi était de trouver une manière de jouer notre musique et que les visuels soient automatisés dessus et fassent leurs trucs. Il y a beaucoup de préparation pour la partie vidéo de notre show. Chaque morceau a sa propre vidéo réactive pré-rendue et liée à un track audio, alors quand nous mixons des morceaux, nous mixons les vidéos qui leurs ont été attribuées ce qui peut devenir assez amusant quand tu cut entre les morceaux, que tu rewind, etc...
Je voulais que les gens voient une connexion entre l’audio et la vidéo et j’étais particulièrement intéressé par l’interaction entre l’audio et la vidéo et comment les fréquences audio peuvent affecter et même créer les visuels que vous voyez. Nous avons utilisé de nombreuses techniques qui ont abouti à une variété de styles graphiques. Certains graphismes qui ont été créés par Joelle Snaith sont basés sur du code et sont créés en utilisant un traitement pendant que d’autres visuels que j’ai créé, utilisent les fonctions de réactivité audio de certains plugins comme Trapcode Sound Keys & Trapcode Form, comnbiné avec 3DS Max. C’est vraiment notre interprétation de la musique avec des fois, des résultats inattendus où chaque frame est unique et rien ne tourne jamais en boucle.
Quels sont les prochains projets de Counterstrike ? Prochaines sorties ? Collaborations ?
Justin : Nous venons juste de sortir notre Devil Fish EP 2 il y a quelques semaines. Notre remix Gunseller pour BSE vient juste de sortir. Il y a un remix et une collaboration à venir très bientôt sur Position Chrome le label de The Panacea. Un nouveau single est en cours pour PRSPCT avec une touche plus crossbreed. À part cela l’EP From Beyond The Grave Part 2 sur Algorythm et nous travaillons sur deux trois trucs pour une nouvelle collaboration sur Counterstrike Recordings.
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Dernière édition: il y a 10 ans 11 mois par JanineVodka.
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